Réponse faible à la

stimulation ovarienne

Χαμηλή ανταπόκριση

στη διέγερση ωοθηκών

Les patientes dont les ovaires présentent une réponse faible à la stimulation dans le cadre du protocole de la fécondation in vitro représentent un défi pour le gynécologue. Mais, il s’agit d’une difficulté qui n’est pas insurmontable.

Ci-dessous, nous vous proposons une idée sur les alternatives qui sont appliquées pour stimuler ces ovaires.

Dans notre équipe, l’outil principal dans la prise en charge de ces patientes est la Double Stimulation. Il s’agit de stimuler les ovaires en deux temps : à la première phase du cycle et puis, à la deuxième phase du cycle. La deuxième stimulation est, habituellement, de plus brève durée. Ainsi, il y a deux prélèvements d’ovocytes au cours du même cycle, ce qui permet d’obtenir le nombre maximal d’ovocytes. La littérature concernant la Double Stimulation est riche et a démontré les bénéfices pour ce type de patientes.

Le recours au cycle naturel, dans la fécondation in vitro, présente l’avantage de ne pas faire l’usage de médicaments.

Les patientes sont suivies comme dans les protocoles classiques de stimulation ovarienne contrôlée, sauf que, dans ce cas, c’est l’ovocyte du cycle qui est suivi. L’injection finale d’hCG est administrée dès que le follicule atteint les 16 à 18 millimètres. Le prélèvement d’ovocyte a lieu 34 à 36 heures après.

Toutefois, le couple doit savoir qu’il existe de fortes probabilités que le transfert embryonnaire ne puisse pas être possible, en raison de la difficulté de trouver l’ovocyte, de l’impossibilité de féconder l’ovocyte ou de la mauvaise qualité de l’embryon.

Dans des cas précis, il est possible de réaliser la stimulation ovarienne par citrate de clomifène (Serpafar) ou par Femara, avec ou sans doses faibles de gonadotrophines (stimulation légère). L’injection finale d’hCG est administrée normalement et, 34 à 36 heures après, a lieu le prélèvement d’ovocyte.

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